Bon, une maladresse et j’ai perdu les mots que j’avais écrit pour ce message. Je me rappelle avoir parlé de la recette et des études de mes petits. Mais tout s’est effacé. Il faut donc reprendre. Parler de la campagne de certains enseignants qui dénoncent la difficulté de l’épreuve de lecture au CEB, au certificat d’étude primaire. Cette épreuve si douce que termine ma chérie, ma Loulou. J’ai lu la page de texte proposée aux élèves de onze et douze ans. Un texte un peu poétique mais sans grandes difficultés de lecture et de compréhension... “Les doigts dans le nez” a conclu ma Loulou à l’issue de l’épreuve. “Cela dépasse l’entendement “ disent d’autres instits... La même problématique encore... Le nivellement par le bas.... Apprendre pour quoi ? Apprendre par qui ? Laisser glisser ceux qui ne s’accrochent pas parce que la dérive est tellement importante qu’elle met en danger ceux qui veulent, peuvent, doivent progresser. Je sais qu’en écrivant “veulent”, “peuvent”, “doivent”, j’exclus la discrimination positive d’un possible institutionnel et formatif. On sacrifie l’un ou l’autre. On ne sauve pas les deux. Un enseignement intelligent aiderait les uns et grandirait les autres.
mardi 24 juin 2008
Gambas au Boursin
Bon, une maladresse et j’ai perdu les mots que j’avais écrit pour ce message. Je me rappelle avoir parlé de la recette et des études de mes petits. Mais tout s’est effacé. Il faut donc reprendre. Parler de la campagne de certains enseignants qui dénoncent la difficulté de l’épreuve de lecture au CEB, au certificat d’étude primaire. Cette épreuve si douce que termine ma chérie, ma Loulou. J’ai lu la page de texte proposée aux élèves de onze et douze ans. Un texte un peu poétique mais sans grandes difficultés de lecture et de compréhension... “Les doigts dans le nez” a conclu ma Loulou à l’issue de l’épreuve. “Cela dépasse l’entendement “ disent d’autres instits... La même problématique encore... Le nivellement par le bas.... Apprendre pour quoi ? Apprendre par qui ? Laisser glisser ceux qui ne s’accrochent pas parce que la dérive est tellement importante qu’elle met en danger ceux qui veulent, peuvent, doivent progresser. Je sais qu’en écrivant “veulent”, “peuvent”, “doivent”, j’exclus la discrimination positive d’un possible institutionnel et formatif. On sacrifie l’un ou l’autre. On ne sauve pas les deux. Un enseignement intelligent aiderait les uns et grandirait les autres.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire