mercredi 16 février 2011

Obel.


Celle-là, je l'aime bien. Quand elle pose ses notes coupantes mais douces sur le clavier de son piano. Je l'aime bien quand elle tire la tristesse de ses petites phrases musicales. Le papy aimait bien et il a laissé traîner le petit virus, le petit cd. Agnès Obel. Ô très belle.

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