dimanche 26 septembre 2010

Rien de personne.


Un repas de fin de journée qui n'exige rien de personne et qui ne demande même pas qu'on l'apprécie. Un repas qui remplit puisque c'est maintenant son rôle. Dehors, les préparatifs de la nuit aux flambeaux sont en cours. Le voisin est venu chercher le réconfort du papy qu'il n'est pourtant pas venu revoir ce matin. Trop éloigné des besoins à cause d'une nuit trop éloignée, elle même, de ses objectifs.
Encore quelques heures entre Wallonie et communauté française, entre le passé et le futur. De l'américain qui ne veut pas de ses médailles, des frites à la belge, une ou deux tranches de roastbeef bien supportées par l'assaisonnement. Rien d'autre, entre les averses et les nuages.

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