dimanche 18 juillet 2010

Dehors...



De jeunes haricots cuits puis laissés à l'abandon dans la fraîcheur, Des oeufs cuits cinq minutes dans les bouillons puis laissés à l'abandon dans la fraîcheur... Des pommes de terre en chemise, avec leur moufles et leur passe-montagne chauds pour troubler la saison. Un vin des Corbières pour lui et un autre frais et rosé du bordelais pour moi. Quatre lourdes brochettes de boeuf qui dorment sur la grille. Quelques guêpes qui s'invitent en vain et tournicotent autour des assiettes. Repas dans le silence pour entendre le bruit des couverts sur la faïence à deux pas. Les invités du Fenil sont discrets. Appliqués dans le repas. Nous le sommes tout autant.

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