Les images de leur promenade en France. Des villages de Charente dont j'ai oublié le nom mais pas le pineau... La Rochelle, Paris... Des moments de complicité bien sentis. Bien des sourires, bien des regards. Les gens, mes enfants donc, sont souvent désarmés quand ils sont au loin. Ils sont plus vulnérables, moins sur leur garde. Ils font moins attention à l'image qu'ils veulent donner d'eux-même ou plutôt qu'ils veulent qu'on garde d'eux. ils n'en sont que plus touchants et agréables. Chambres d'hôtes, petits havres de paix.
Rencontres avec les autres. Les indigènes qui vous font croire que leur pays est le plus beau de la terre et les vacanciers qui veulent vous faire oublier qu'ils viennent du plus bel endroit de la planète. Tout le monde triche mais tout le monde est content. Mes loustics ont pédalé sur l'eau en pédalo et autour de l'île, en vélo. Ils ont terrassé, non pas le dragon mais, les quelques tables à l'ombre de parasols dans le soleil généreux ou dans la nuit tombante. L'été passe et les kilomètres se marquent au compteur. Dans quelques jours, la France encore et la Slovénie. De quoi se faire des siestes à l'arrière des voitures et d'interminables promenades. de quoi être fatigué, rompu et las mais surtout de quoi se faire des souvenirs. J'ai gardé le ballon de foot. Celui que j'ai entendu frappé plus de mille fois au cours de la semaine.
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