Les pastels de Raymonde Duval traînent sur les murs et dans le reflet des lumières. Ils sont une partie de mes patiences, de mes silences.
On y voit aussi, dans les reflets, la trace d'une vie distraite. Deux de ces pastels sont dans la cuisine et la femme allongée est dans ma chambre. Plus de trente années de regards lointains ou appuyés.
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