La pelouse est, par manque de pluie, devenue foin, jaune et cassante. Seuls les abords du pommier ont gardé un peu de verdure tout comme, au plus bas de la pente, sous le prunier fatigué quelques touffes d'herbe résistent à la chaleur. Les haies sont un souci permanent sauf en ce qui concerne les murs d'aubépine ou de charme taillés pour toute la saison. Quelques baies sont déjà présentes à partager l'espalier avec le malus.
lundi 7 septembre 2009
Promenade de dix-sept heures
La pelouse est, par manque de pluie, devenue foin, jaune et cassante. Seuls les abords du pommier ont gardé un peu de verdure tout comme, au plus bas de la pente, sous le prunier fatigué quelques touffes d'herbe résistent à la chaleur. Les haies sont un souci permanent sauf en ce qui concerne les murs d'aubépine ou de charme taillés pour toute la saison. Quelques baies sont déjà présentes à partager l'espalier avec le malus.
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